mon (début de) roman

Tout d'abord, je tiens à vous prévenir que ce roman ne sera peux être jamais finit.
Pourquoi ? Tout simplement parce que j'ai un peu TROP d'imagination...donc je commence à écrire un début d'histoire, et puis hop, j'ai une autre idée qui me plait plus...
Mais là je vous rassure, je suis bien lancer et j'ai de l'inspi.
Ensuite, j'ai passer du temps à tout écrire. Du temps à relire, à réfléchir, à chercher la phare qui correspondait le mieux à ce que je voulais exprimer. Ca m'a demander du travail. Ce serait donc sympa de ne pas s'en servir sans me prévenir et me demander.
Je m'exuse aussi à l'avance pour les (nombreuse) faute d'orthographe.
Et pour finir, vous pouvez bien sur me donner votre avi. Mais essayer de ne pas mettre simplement "j'adore" ou bien "c'est nul". essayer d'expliquer pourquoi. Si je mes mon textes ici c'est avant tout parce que j'espère que vous me donnerez des conseils...
Pour le moment je ne met que le prologue et le premier chapitre, j'éditerait si sa vous plait. J'ai écrit pour le moment 4 chapitres, je 5 en en court.
Voilà, dsl si ça à été long^^

Prologue



Un homme habillé de noir se tenait debout sur un rocher qui surplombait une vallée. Sa cape sombre frôlait le sol et ondulait sous la caresse du vent. Le cri d’un hibou troublait parfois le silence de la nuit. Un bruissement d’aile retentit et un oiseau au plumage de jais pris son envole. Plus loin, un renard bondit souplement sur un lapin innocent et inconscient du danger, l’un perdant la vie, l’autre sauvant peux être la sienne. Tout semblait parfaitement calme. Pourtant, l’homme n’était pas dupe. Bientôt, Ils arriveraient.
Cela faisait si longtemps qu’il attendait... Toute sa vie avait était entièrement consacré à un seul bute. Des années durant, il avait enduré souffrance et privation pour une chose que lui seul connaissait.
Mais cela en valait la peine.
Car le but tant rechercher n’était autre que celui de sauver espèce humaine.
L’homme resta immobile encore un moment, puis, avant de se détourner et de se fondre silencieusement dans l’obscurité, il murmura quelque parole que personne n’entendit. Le vent emporta son chuchotement se perdre dans le ciel infini.
-Le temps est venu.


Chapitre 1

Nathan ouvris la porte de la maison. Une mèche de ses cheveux bruns lui tombait sur le front. Il ne prit pas la peine de signaler son arriver. Il n’y avait personne de toute façon, comme d’habitude. Le jeune garçon jeta son cartable à travers la pièce, contre un mur. Ses yeux bleu-gris étaient remplis de larmes, des larmes de rage et de tristesse.
Aujourd’hui, c’était son anniversaire, il allait avoir douze ans. Pour une fois, pour la première fois, il croyait que se ne serait pas un jour comme les autres. Il avait invité ses copains à venir chez lui, pour faire la fête. Oui, mais, finalement, ses copains avaient préféré aller au cinéma. Sans lui.
Une fois encore, il se retrouvait seul.
Cette année, il était entrer au collège. Il avait rencontré du monde. Il avait cru trouver une bande, des gens sur qui compter.
Et il c’était tromper. Il n’avait personne, personne !
Pas de parents, pas des vrais. Juste ses parents adoptifs. Il n’avait jamais compris pourquoi ils l’avaient adopté. Il devait se débrouiller seul en permanence. Il les entendait seulement rentrer, tard le soir, alors qu’il était couché. Les rares fois ou il les voyait, il finissait toujours par se faire punir. En faite, il préférait encore ne jamais les voir.
Pas d’amis, pas de parents sur qui compter.
Même pas un poisson rouge.
Nathan retourna dehors. Il claqua la porte derrière lui puis partit vers le centre ville en courant. Il courait sans réfléchir, sans savoir ou il allait. Il courait, c’était tout.
Il passa devant la boutique de livre ancien ou il aimait temps s’asseoir. Mais là, il n’était pas d’humeur à se plonger dans des vieux ouvrage.
Il bouscula des passants sans faire attention, se fit insulter. Mais l’idée de s’excuser ne lui traversa même pas l’esprit. Il haïssait ce monde.
Le jeune garçon finit par sortire de la ville et arriver à la lisière de la forêt. Il s’engagea sur un sentier tortueux, puis coupa entre les arbres. Il arriva devant un grand chênes centenaire et s’assis sur ses racines noueuse.
Là, il fondit en larme. Il pleurait silencieusement, hoquetant. Il avait envi de crier sa haine au monde entier. Il ne voyait plus rien, sa vu se brouillait.
Mais toute sa colère et son désespoir s’effaçait peu à peu. Bientôt, il cessa de pleurer.
Il inspira profondément, puis il se leva, les yeux rouges mais le cœur plus tranquille qu’avant. Aussi loin que remontaient ses souvenirs, Nathan avait toujours aimé la forêt. C’était un lieu calme, silencieux ou il se sentait chez lui.
Les feuilles craquaient sous ses pas, les oiseaux chantaient. Il sourit en voyant un lapin détaller devant lui.
Il s’enfonça plus loin que jamais. La forêt semblait l’avaler vivant. Le feuillage des arbres empêchait la lumière de passer, et seul un mince rayon de soleil éclairait le garçon. Personne ne viendrait le chercher ici. Depuis quelques années, les loups étaient revenus dans les hautes montagnes voisinent, arrivant d’Italie. Certain disait qu’ils descendaient parfois par ici. Nathan n’y croyait qu’a moitié, mais plusieurs moutons avait été tué réçament chez les bergers, non loin de la ville. Et, même si tout le monde savait que les loups n’attaquaient pas les hommes, les contes et les légendes dissuadaient la plupart des hommes de s’aventurer trop loin dans la forêt. Ce qui convenait parfaitement au jeune garçon, qui n’avait pas du tout envi d’être retrouver. En faite, il se demandait si il aurait le courage de retourner en ville un jour…
Nathan n’avait jamais aimé l’école. Il avait de bonne note dans toutes les matières, sauf en sport, car il n’était pas vraiment musclé. Sa silhouette mince et son sens de l’équilibre l’aidait en gymnastique, mais le reste ne lui réussissait pas vraiment. Il était un élève sage et travailleur, mais trop rêveur au goût de ses professeurs. Il avait tendance à regarder plus par la fenêtre qu’au tableau ou à dessiner des arbres et des montagnes dans la marge de ses cahiers. Il aimait la nature et rêvait sans cesse de grand espace et de liberté. Parfois, son imagination s’emballait et il sentait presque la caresse du vent frais sur son visage…
Un buisson remua derrière lui et quelque chose en jaillit. Nathan n’eu pas le temps de se retourner. Quelqu’un l’empoigna par les cheveux et lui fit basculer la tête en arrière. Il allait se débattre quand il sentit le métal glacé de la lame d’un couteau contre la peau sensible de sa gorge découverte. Aussitôt, il se figea, osant à peine respirer. Une voix siffla à son oreille :
-Un geste et tu es mort.
Au ton qu’avait employé la personne, une fille étant donnée la voix, il compris qu’elle n’hésiterait pas à mettre sa menace à exécution.
-Que faisais-tu ici ?
Nathan compris que mentir ne servirait à rien d’autre qu’a aggravé la situation. De toute façon, il n’avait aucune raison de le faire.
-Je…J’avais besoin d’être seul…
Il tentait vainement de cacher sa frayeur. Mais ses genoux qui tremblait trahissait son angoisse.
-Les hommes n’ont rien à faire dans cette partie de la forêt !
Elle avait crié. Le garçon dus surpris de la façon dont elle avait prononcé le mot homme. C’était un mélange de haine, de dégoût et de mépris. Comme si elle même n’était pas humaine.
Il sentit qu’on lâchait ses cheveux et lui liait les mains dans le dos. Puis l’inconnu plaça le couteau sur sa nuque.
-Avance. Ordonna-elle.
Nathan, toujours tremblant, ne pus réprimer une question.
-Ou est-ce que tu m’emmène ?
-Tu verras bien. Aller !
Ils s’enfoncèrent entre les arbres, vers une destination inconnue du jeune garçon.
Il avait peur, très peur. Mais il avait sa fierté et il y tenait, aussi garda-il la tête haute malgré tout. Il espérait juste qu’il allait réussir à se sortir de cette mésaventure…


Chapitre 2


Nathan respirait bruyamment. Cela faisait un bon quart d’heure que sa ravisseuse le guidait à travers la montagne. Ils étaient dans un coin ou les hommes ne venaient pas habituellement, le terrain étant trop difficile. Effectivement, la pente était raide et les pierres roulaient sans cesse sous les pas du jeune garçon. L’inconnue, elle, ne semblait pas se fatiguer.
L’adolescent serrait les dents pour ne pas émettre un son, mais il avait bien envi de gémir. Les cordes qui entravaient ses poignets frottaient contre sa peau, l ‘écorchant sans qu ‘il ne puisse rien faire. Sur sa nuque, une goutte de sang perlait d’une coupure à l’endroit ou la lame du couteau était posé. Le soleil d’été tapait fort et il transpirait abondamment.
Nathan et la jeune fille finir par arriver devant une grotte dans le flanc de la montagne. En faite, elle était impossible à trouver sans quelqu’un qui connaissait son emplacement. L’entrée était un trou à peine assez grand pour qu’un adulte puisse s’y faufiler et elle était cacher par un buisson.
Les deux jeunes gens pénétrèrent à l’intérieur d’une vaste salle circulaire. On distinguait à peine les parois irrégulières, la lumière ne pénétrant que par un mince interstice. Mais Nathan vit clairement, face à lui, trois pairs d’yeux dorés luire dans la noirceur de fond de la grotte.
Dans la pénombre, il vit trois ombres silencieuses s’approcher de lui. Il distingua vite leur forme dans l’obscurité…
C’était trois énormes chiens…Leur pelage gris mêlé de roux et de noir, dont les teintes différaient selon l’animal, était épais et emmêlé…Il avait retrousser leur babine, découvrant leurs crocs tranchant…Et leur regard…Mystérieux…Ce regard qui fascinait l’homme depuis toujours…
Les contes et les légendes d’autre fois se mêlait dans la tête de Nathan, et un long chant résonnait à ses oreilles…Une longue plainte, un hurlement appelant les autres à se joindre à la chasse qui commençait…
La morsure glacé du couteau disparut subitement et on lui délia les mains. Le jeune garçon eus à peine le temps de s’en occuper, immédiatement, le mélange de soulagement et de peur laissait place à la stupeur. Les loups n’étaient plus trois, ils étaient quatre. Et la jeune fille avait disparus.
A sa place se tenait une magnifique louve. Son pelage était gris sombre, ses yeux d’un vert mêlé de brun, comme des feuilles en automne, avec un étrange reflet doré.
Nathan, les yeux écarquiller par la stupeur, réussit à articuler quelques mots :
-Mais…Mais…C’est impossible…C’est de la magie…
La louve lui répondit sur un ton sec. Le garçon crus s’évanouire. Il devait rêver, les humains ne se transformaient pas en loup et les loups ne parlaient pas.
-La magie n’existe pas. Les hommes ont appelé magie ce qu’il ne comprenait pas. Il déteste ne pas comprendre. Alors il on dit que c’était une chose qui n’existait pas, comme ça personne n’irait leur demander comment ça ce produisait. En réalité, tout est naturel. Si c’est comme ça, c’est parce que la nature en à décider ainsi, un point c’est tout. Le sur-naturel n’a rien à voir la dedans.
Nathan, toujours tremblant, ne répondit rien dans l’immédiat. Tout cela n’était sans doute qu’un rêve, il allait sans doute bientôt se réveiller bien au chaud dans son lit. Pourtant, tout cela semblait si réel…
Les loups échangèrent entre eu des regards consterner. Ils devaient le prendre pour un lâche…L’adolescent serra les dents et tenta de maîtriser ses tremblements.
-Qu’est ce que vous comptez faire de moi ?
Il avait voulu paraître sur de lui, mais sa voix restait hésitante et mal assurer. Un des loups, un énorme male, s’avança d’un pas.
-Les humains n’ont rien à faire ici ! Tu t’es aventurer trop près de notre territoire et si Akena ne t’en avait pas empêché, tu y serais pénétrer. De plus, tu as découvert notre grotte et tu connais désormais le secret de la fille louve. Si nous te laissons partire tu parleras. Or, personne ne doit rien savoir de tout cela. Tu dois mourir !
Nathan chercha désespérément des yeux une façon de s’enfuire ou un peu de soutient de la part d’un des loups. Mais leur regard était tous froid et dure. Le garçon eus un mouvement de recule. Le loup qui venait de parler se prépara à bondire et allait le faire quand un cris résonna dans la grotte :
-Attend !
C’était la louve qui l’avait capturé. Elle avait repris une apparence humaine et se précipita sur lui. Elle empoigna le médaillon que portait Nathan.
Ce médaillon, il l’avait toujours porté, ou qu’il aille. Il ne savait pas comment il l’avait eu, ni pourquoi il y tenait temps, mais il avait toujours refusé de s’en séparer, même pour quelque instant. Il représentait un croissant de lune en argent.
-Et, arrête, laisse sa tranquille !
Mais la jeune fille l’ignora. Elle se tourna vers les loups.
-Alors viendra l’élu du médaillon lunaire…
Ce n’était qu’un murmure, mais tout le monde avait compris. Le croissant de lune était maintenant entourer d’un halo de lumière bleuté. Akena, puisqu’elle semblait s’appeler ainsi, regarda le jeune humain dans les yeux.
-Ou as-tu volé ça ?
Elle semblait persuader qu’il l’avait pris à quelqu’un.
Nathan ne réussit pas à soutenir son regard.
-Je ne l’ai pas volé ! Il est à moi depuis toujours, je ne sais pas comment je l’ai eu.
Il pus alors lire sur le visage d’Akena une réelle surprise.
-Ce serait toi…Mais pourquoi est-ce qu’il t’aurait choisit ? Tu n’a rien d’extraordinaire, tu n’est rien qu’un…qu’un…qu’un humain !
Elle avait chuchoté cela pour elle-même. A ce moment, une louve qui n’avait pas encore parlé s’avança à son tour. Elle semblait être la plus âgée du groupe, la plus sage aussi.
-Jeune humain, quelque soi ton nom. Sache que nous possédons, nous, les loups, ainsi que tout les autres animaux, une prophétie. Elle se transmet de génération en génération depuis des années.
La vieille louve ferma les yeux.

« Quand viendra le temps où la terre pleurera,
Quand sous la fumée le ciel s’assombrira,
Quand les destructeurs conquérront le monde,
Et déverseront partout leurs déchets immondes
Alors viendra l’élu du médaillon lunaire,
De ce peuple qui détruis la terre.
Avec une chanteuse de lune qui lui ressemble tant
Même si en elle tout est différent
Ils trouveront le cristal de feu
Et le poseront tous les deux
Sur le socle de pierre
Quand il sera éclairé par la lumière lunaire.
Les destructeurs seront détruis
Car les autre être vivant auront fuit
Dans ce monde inconnu découvert par l’élu
Et la lune veillera jusqu’a la fin
Sur le monde au tragique destin
Puis elle rejoindra pour toujours
L’autre monde, de bonheur et d’amour. »


Sa voix était claire et calme. Elle avait tout réciter sans hésiter une seules fois. Nathan avait écouter attentivement. Désormais, même si il ne le savais pas encore, la Prophétie était inscrite dans sa mémoire pour toujours.
-Mais qu’est ce que sa veux dire ?
En réalité, il avait l’esprit vif et avait tout de suite compris. Simplement, il refusait d’y croire.
Ce fus Akena qui lui répondit :
-Cela signifie que tu es l’élu du médaillon. Tu vas devoir, avec l’aide d’une chanteuse de lune, autrement dit d’une louve, trouver le cristal de feu et le poser sur le socle de pierre. Alors s’ouvrira un passage vers un autre monde, par lequel s’enfuiront tous les animaux et les plantes. Les seuls qui resteront seront les hommes, les destructeurs. Ils ne pourront plus se nourrire, donc vivre. Et leur espèce disparaîtra à jamais.

J'adore ça, j'ai hâte de lire la suite!!!

C'est très mysthérieux...

oui, je sais^^
C'est assez fantastique aussi, comme vous pourrez le découvrir par la suite.
Pour info, sa ce passe dans le futur.
J'ai mit le chapitre 2.

J'en raffole!!!

Tu as pensé à te sortir un livre??

Merci !
J'avoue que parfois, j'imagine que j'arrive à le faire publier...
Mais d'après ce que j'ai compris, c'est pas toujours simple.

Tu me l'envoies, je corrige les erreurs, puis tu l'envoie à l'éditeur ^^

Oui a moi aussi ça me plaît beaucoup ^^Super bien écrit, détaillé comme il faut, original et tout ça…
Seul reproche que je pourrais te faire : je trouve qu'on voit trop vite la 'destinée' du garçon. Il aurait fallut qu'une partie ne soit pas dans la prophétie, qu'il doive trouver par lui-même par exemple. Mais sinon c'est génial ^^

Merci à tous
C'est vrai que ça vas un peu vite...
J'y avais pas penser, merci.
Je vais essayer de trouver quelque chose pour arranger ça.
Voilà le chapitre 3, je peux plus éditer, sa dépasse la limite autoriser^^
Poutr info, quand je met ***** c'est parce que j'ai pas encore trouver le nom du perso.
Si vous avez des idées...

Chapitre 3

Nathan refusait d’y croire. C’était impossible. Premièrement, il n’était pas un élu. Il était normal, ce qu’il y à de plus normal ! Deuxièmement, c’était idiot. Les humains ne pouvaient pas disparaître, il n’avait rien fait ! Et troisièmement, les monde parallèles n’existait pas, ce n’était que des légendes !
De toute façon, même si par miracle tout cela était vrai, il refusait de chercher quoi que se sois. Jamais il ne participerait à la destruction de sa propre espèce.
Devant son silence, Akena ouvrit le bouche pour dire quelque chose. Mais la vieille louve la devança. Elle semblait comprendre ce qu’il pensait.
-Je comprends ton doute, jeune humain. Il est normal que tu n’y crois pas tout de suite. Mais la Prophétie va se réaliser, quoi que tu en pense. Tu es l’élu du médaillon lunaire et toi seul peux nous sauver. Mais avant de prendre une décision définitive, laisse moi te raconter une histoire.
Quelque part dans l’univers infini, il y a une minuscule planète. Elle pouvait sembler pareille au autre, sans importance…Mais elle avait quelque chose de très rare : on pouvait y vivre. Et, grâce à cette particularité, au bout de centaine d’année, elle se transforma en véritable paradis. On y trouvait eau et nourriture en abondance, tous les animaux, à l’époque bien différent de nous, y vivait en paix. Les paysages étaient d’une beauté sans égale.
Et puis, peu à peu, au fil du temps, les espèces ont évolués. L’une plus que les autres. Longtemps après, elle est devenu ce qu’on appelle « humain ».
Au début, tout se passait bien. Ils vivaient de chasse, de pêche et de cueillette, en harmonie ave la nature. Et puis, ils ont inventé les outils…Puis l’agriculture et réduit certain autre peuple en esclavage…Puis l’écriture…Et enfin, la pire des choses…L’argent…Ca à été le début de la fin…Depuis, ils ont créé bien d’autre chose, ils chassent pour le plaisir, se servent des océans comme poubelle, recouvre les vastes forêts de béton et d’immeubles, remplisse l’atmosphère de gaz toxique…À cause d’eu, le paradis n’est plus jeune humain…
Nathan remarqua à peine que la louve avait les larmes aux yeux. Il était trop perturber. Quelque chose s’était réveiller au fond de lui, une chose enfouis la depuis toujours mais dont il ne connaissait pas l’existence jusqu'à lors…Quelque chose qui le poussait à accepter, à dire oui, à les aider…C’est cette chose, cette voix intérieur qui lui fit prononcer ces mots :
-Je…Je vais réfléchire. Je vous promets rien, et de toute façon, quoi que vous pensez, je suis pas l’élu, je sais rien faire d’extraordinaire…
Cette fois, ce fus la louve qui n’avait encore rien dit qui lui répondit. Elle semblait jeune et rêveuse, un peu ailleurs…
-Mais on ne te demande pas de faire des choses extraordinaire…Juste d’être toi…
Les autres lui lancèrent un regard étonné. Mais elle les ignora et ne dit plus rien. Le silence dura un moment. Nathan finit par se risquer à tenter quelque chose.
-Je…Il faut que je reparte, on doit m’attendre…
-Non.
C’était de nouveau le grand mâle, celui qui avait voulu le tuer.
-Tu reste avec nous jusqu'à avoir pris sa décision.
Le jeune garçon compris que, quel que sois sont choix, il ne retournerait jamais chez lui.
La petite meute se dirigea vers le fond de la grotte, une partie tapisser de feuille et de mousse. Nathan se rendit compte que la lumière ne pénétrait plus par l’entrée, la nuit était déjà tomber. Akena, de nouveau sous sa forme de louve, lui fit signe de venir. Elle paraissait le trouver un peu trop peureux à sont goût, où pas assez musclé.
-Au faite, c’est quoi le nom de notre élu ?
Sa voix était moqueuse, avec une pointe de mépris.
-Nathan.
Ce fus tout ce que lui répondit le garçon. C’était peu être sont imagination, mais il crus voir un léger sourire passer sur les lèvres noires de la louve.
Ils s’allongèrent tous sur le sol durent et inconfortable. Les loups semblaient ne pas être gêné et s’endormirent tout de suite, mais l’adolescent lui, resta longtemps éveiller avant de sombrer dans le sommeil.
Il pensait à ses parents, à son histoire. Ou du moins au peu qu’il en connaissait.
Alors qu’il n’avait quelque mois, ses parents et lui avaient eu un accident de voiture. D’après ce qu’il en savait, ils étaient sur une petite route. D’un côté, la forêt, de l’autre, un ravin. C’était la nuit. Un camion, conduit par un homme apparemment ivre, avait voulu les doubler, mais avait accidentellement percuter et pousser la voiture dans le ravin. Sa mère était morte. Lui avait survécu, personne ne savais comment. Quant à son père…Il avait disparus sans laisser de trace. Quand il était petit, Nathan s’imaginait qu’il retrouvait son père. Mais son rêve ne s’était jamais réalisé et ne se réaliserait sans doute jamais.
C’est sur ces sombres pensées que le garçon sombra dans le sommeil. Il fit alors un rêve étrange, qui semblait si réel…
Il voyait un paysage magnifique. D’immense montagne se dressait devant lui. Elles étaient couvertes de forêts, sauf leurs sommets enneigés dont le blanc éclatant se détachait sur le ciel bleu azure. A leur pied s’étendait une plaine gigantesque. L’herbe verte ondulait doucement sous la caresse du vent frais. Un troupeau de biche broutait tranquillement, tandis que leurs faons cabriolaient joyeusement quelques mètres plus loin, sous l’œil attentif d’un cerf à la ramure majestueuse. Un aigle planait avec grâce au-dessus de la scène, ses yeux attentif cherchant à repérer un rongeur caché dans un buisson.
Hélas, la beauté du moment ne dura pas. Le paysage se modifiait peu à peu. Ne minute plus tard, il avait entièrement changé.
Les forêts avaient laissé place à d’immenses champs et des prairies dans lesquels broutaient des moutons. L’aigle c’était changé en tourbillon de fumé montant d’une usine. Et à la place des biches se trouvait une ville. Cette ville, au cœur des Alpes française, Nathan les connaissait bien. C’était de la bas qu’il c’était enfuis, de la bas qu’il venait. Oui, il reconnaissait tout désormais. Là, à l’ouest du village, les champs laissaient place à la forêt. Elle-même laissait ensuite place à une pente abrupte et rocailleuse, quasi-impraticable. Cette même pente qu’il avait, le jour précédant, escalader avec peine, le couteau d’Akena le menaçant.
Brusquement, il ouvrit les yeux. Et à cette instant même, sa décision était prise. Elu ou pas, peux importe. Les loups comptaient sur lui, il avait l’avenir du monde entre les mains. Il allait retrouver le cristal de feu et ouvrire un passage, si c’était possible, vers un autre monde.
C’est sur cette résolution qu’il balaya du regard l’endroit ou il se trouvait et se remémora les évènements de la veille. Il se leva avec difficulté, tous endoloris par sa nuit sur le sol dure et inconfortable. Il se rendit alors compte qu’il était seul avec la vieille louve, qui était assise près de lui. Elle lui sourit.
-Ah, tu t’es réveiller. Tu devais être très fatiguer… Les autres sont partit chasser. Ne t’inquiète pas, Akena va te ramener quelque chose de la ville. Au faite, moi je suis Kénéla. Celui qui joue au gros dure, c’est ***** et la p’tite jeunette, c’est Ina.
Nathan ne répondit pas tout de suite. Il était encore un peu ensommeillé.
-J’ai fait un drôle de rêve cette nuit…
La louve eue un sourire mystérieux.
-La nature sait obtenir ceux qu’elle veut…
Sur le coup, le garçon ne comprit pas vraiment ce qu’elle voulait dire. Plus tard seulement il se souviendrait de ces paroles…

A oui, les fautes
Je suis désoler pour se désagrément.^^
J'essaye de d'en corriger, mais l'orthographe et moi sa fait 2...

Pour le loup: Wary...

Nan, enfait je sais pas, sinon, c'est super la suite!!

Mais je dis comme Perfect... Les fautes ^^

Pour le loup moi j'ai pensé à Tinaï sinon ^^
Mais très belle suite, j'aime toujours beaucoup ^^